En 2003, selon plusieurs études de l'Institut de veille
sanitaire (InVS) :
- près d'un couple sur deux (46%) n'attendait pas d'enfant, six mois après l’arrêt de contraception
- près d'un quart des couples (24%) n'était pas parvenu à faire un enfant 12 mois après
- et 11% deux ans après.
Selon l’Observatoire Epidémiologique de la Fertilité en
France, le pourcentage de couples sans grossesse après 1 an sans contraception
est actuellement de l’ordre de 15 à 25% (source http://opac.invs.sante.fr/doc_num.php?explnum_id=7940)
De nombreux couples rencontrent ce problème d’infertilité et
cela peut détruire un couple, même très amoureux.
Un sentiment de frustration de ne pas avoir d’enfant
commence à peser fortement sur les relations dans le couple. Pour ces couples,
le mariage est un tremplin vers la création d’une famille, vers la naissance d’un ou plusieurs enfants.
En général, la femme se sent coupable, déprime et commence à
s’éloigner de son conjoint. Elle a peur d’être incapable de concevoir et se
sent diminuée dans sa féminité.
Les deux conjoints commencent à regarder les enfants de leurs amis avec
envie. Les réunions de famille deviennent une source supplémentaire de stress
par la vue des enfants des autres et par les remarques blessantes ou questions
insidieuses des membres de la famille du style : « ben alors, vous
n’en avez pas encore mis un en route ? », « Alors, Hector, tu
veux que je te donne un coup de main ? Il faut que je t’explique comment
faire ? », etc.
Le mari sent bien que sa virilité est remise en cause et
l’épouse ressent un sentiment d’inutilité. Le couple a l’impression de ne pas
être normal, d’être sorti de la norme, d’être rejeté.
Les tensions dans le couple deviennent de plus en plus
fréquentes et les moments d’intimité de plus en plus rares.
Faire l’amour devient source de stress, puis un devoir. Il
ne s’agit plus de se donner du plaisir quand on en a envie, mais d’accomplir l’acte
sexuel, à des dates optimales, en vue de la conception d’un enfant. Ces
moments, qui devraient être remplis d’amour, de tendresse et de complicité,
sont gâchés par les contraintes de la procréation.
Ces conditions sont encore moins propices à la réussite de
cette conception, les échecs sont nombreux et de plus en plus douloureux, ce
qui engendre encore plus de stress.
Dans ces conditions, si une solution rapide n’est pas
trouvée, c’est la mort du couple assurée, à plus ou moins brève échéance.
Pourtant, des solutions naturelles existent, qui dans de
très nombreux cas (89 %), sont à même de résoudre le problème.
Bien sûr, on peut avoir recours à la FIV ou l’IIU , mais ces
techniques comportent de nombreux effets secondaires et malheureusement les
taux de réussites sont bas.
Alors que traiter le problème de manière holistique,
c'est-à-dire en traitant le corps mais également
l’esprit, apporte de bons résultats.
Cette méthode permet de tomber enceinte, tout en retrouvant du
plaisir, du calme et de la sérénité, de l’enthousiasme, et d’avoir une vie
sexuelle épanouie.
(source clipart Microsoft Office)
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